The Washington Post says this first-time native print ad is unlike advertorials of the past. The ad itself begs to differ.
Antoine Cheret's insight:
Le native advertising est censé remplacer le très ringard publi-rédactionnel et contribuer au redressement éco des rédactions. Les craintes de certains (comment distinguer le contenu sponsorisé du pur contenu rédactionnel ?) sont ici balayées : entre la mise en pages à pleurer, la photo mal choisie et ses bords ronds et le texte rédigé par un département marketing en mal d'inspiration et de style, l'essai tombe à plat.
OK, l'actu se glisse dans le fil rédactionnel du journal, mais on voit bien que si le digital commence à savoir gérer les interstitiels avec élégance, le print a des progrès à faire. Un reflet des décalages qui existent entre les rédactions traditionnelles et les rédactions web ?